Stan Getz & Astrud Gilberto

LIVE AT THE BERLIN JAZZ FESTIVAL 1966

Stan Getz & Astrud Gilberto - Live at the Berlin Jazz Festival 1966 - Double vinyle
Stan Getz & Astrud Gilberto - Live at the Berlin Jazz Festival 1966 - arrière
Stan Getz & Astrud Gilberto - Live at the Berlin Jazz Festival 1966 - avant
Photo de Stan Getz & Astrud Gilberto - Live at the Berlin Jazz Festival 1966

La délicate légèreté d'un duo de légende

The Lost Recordings retrouve les bandes masters de cet extraordinaire concert dans les archives de la radio berlinoise. Comment ne pas être transporté par ce concert qui livre une version inédite, notamment, des titres du légendaire album de 1964 chez Verve ? Le label offre ainsi, en première mondiale, ce concert capté à la Philharmonie de Berlin, dans le cadre des Berliner Jazztage de 1966. Les 19 titres de ce concert, désormais inoubliables, s’ajoute à la collection avec, comme toujours, une qualité de son inégalée, grâce au procédé Phoenix Mastering® et à l'inégalable gravure de Kevin Gray.

Le 4 novembre 1966, ils sont d’abord quatre à monter sur scène. Complices jusqu’à l’extrémité de leurs doigts et de leur langage, ils s’apprêtent, devant l’audience du célèbre Berliner Jazztage, à donner un de leurs derniers concerts. L’association mythique du saxophone de Stan Getz et du vibraphone de Gary Burton touche à sa fin. Le savent-ils eux-mêmes ? Ils sont accompagnés ce soir-là par une section rythmique d’exception, constituée de Chuck Israels à la contrebasse et du grand Roy Haynes à la batterie.

Dès les premiers accords de 0n Green Dolphin Street, le public est emporté par la cohésion organique du quartet. Magnifiquement agencé, le programme se déroule en alternant standards flamboyants propices aux solos les plus débridés (Blues Walk), ballades capiteuses offrant au saxophoniste l’espace idéal où faire admirer la splendeur de sa sonorité et la puissance lyrique de son chant (The Shadow of your Smile, Once upon a Summertime) et compositions de Gary Burton donnant au vibraphoniste l’occasion d’exprimer la finesse de son univers harmonique (The Singing Song, Edelweiss).

Soudain, une version échevelée du standard d’Antonio Carlos Jobim & Vinicius de Moraes O Grande Amor surgit pour annoncer la couleur résolument bossa nova que prendra la seconde partie du concert. Astrud Gilberto entre maintenant sur scène. Aux premières mesures de Samba De Uma Nota Só, les délicats parfums du Brésil se révèlent. La voix délicieusement mutine et fragile d’Astrud, sertie dans les sonorités irisées du vibraphone et enveloppée par les contrechants aériens du saxophone, retrouve la fraicheur et l’innocence de l’enregistrement légendaire de 1964. Comme si c’était leur première rencontre, Astrud et Stan jouent au jeu subtil de la séduction qui donne vie à une musique sensuelle, légère et mélancolique. Qui peut alors résister à la suite colorée de standards de la bossa nova (Você E Eu de Gilberto Gil, Corcovado et The Girl from Ipanema de Jobim) mêlés à quelques compositions plus “jazz” dans leur forme comme dans leur esprit (Jive Hoot de de Bob Brookmeyer, The Shadow of your Smile et It Might as Well Be Spring)?

Aux dernières notes de Jive Hoot, le souriant Stan Getz s’arrête et lance aux spectateurs un simple “Auf Wiedersehen”. La parenthèse de ce rêve restera fermée pendant près de 60 ans avant que nous retrouvions les bandes originales dans les archives de la radio Berlinoise. Il s’agit de la première édition de ce concert live, entièrement restauré à l’aide de Phoenix Mastering.

Record 1

  • On Green Dolphin Street
  • The Singing song
  • The Shadow of Your Smile
  • O Grande Amor
  • Blues Walk
  • Once upon a Summertime
  • Medley: Desafinado/Chega De Saudade

  • Record 2

  • Edelweiss
  • Samba De Uma Nota Só*
  • The Shadow of Your Smile*
  • Você E Eu (Eu E Voce)*
  • Corcovado*
  • The Telephone Song*
  • It Might as Well Be Spring*
  • The Girl from Ipanema*
  • Jive Hoot

    • Stan Getz, tenor saxophone
    • Gary Burton, vibraphone
    • Chuck Israels, bass
    • Roy Haynes, drums
    • Astrud Gilberto, vocals*

    Enregistré le 4.XI.1966, Berlin Philharmonie, Berliner Jazztage
    STEREO ℗ 1966 RBB
    Remastérisé par ℗ & © 2021 THE LOST RECORDINGS à partir des bandes analogiques originales


    33 rpm Lacquer-cuts: Kevin Gray
    180g 2-vinyl album
    Galvanisation: Royaume-Uni
    1ère édition, numérotée à la main: 3000 copies
    Nouveau Tip-on gatefold imprimé en Italie
    Pressé par Simon Garcia, Marciac, France



    *Une carte de téléchargement de l'album en 16-bit est incluse avec le vinyle.


    DOUBLE VINYLE | 68€

    Livré à partir du 27/04/24

    La délicate légèreté d'un duo de légende

    The Lost Recordings retrouve les bandes masters de cet extraordinaire concert dans les archives de la radio berlinoise. Comment ne pas être transporté par ce concert qui livre une version inédite, notamment, des titres du légendaire album de 1964 chez Verve ? Le label offre ainsi, en première mondiale, ce concert capté à la Philharmonie de Berlin, dans le cadre des Berliner Jazztage de 1966. Les 19 titres de ce concert, désormais inoubliables, s’ajoute à la collection avec, comme toujours, une qualité de son inégalée, grâce au procédé Phoenix Mastering® et à l'inégalable gravure de Kevin Gray.

    Le 4 novembre 1966, ils sont d’abord quatre à monter sur scène. Complices jusqu’à l’extrémité de leurs doigts et de leur langage, ils s’apprêtent, devant l’audience du célèbre Berliner Jazztage, à donner un de leurs derniers concerts. L’association mythique du saxophone de Stan Getz et du vibraphone de Gary Burton touche à sa fin. Le savent-ils eux-mêmes ? Ils sont accompagnés ce soir-là par une section rythmique d’exception, constituée de Chuck Israels à la contrebasse et du grand Roy Haynes à la batterie.

    Dès les premiers accords de 0n Green Dolphin Street, le public est emporté par la cohésion organique du quartet. Magnifiquement agencé, le programme se déroule en alternant standards flamboyants propices aux solos les plus débridés (Blues Walk), ballades capiteuses offrant au saxophoniste l’espace idéal où faire admirer la splendeur de sa sonorité et la puissance lyrique de son chant (The Shadow of your Smile, Once upon a Summertime) et compositions de Gary Burton donnant au vibraphoniste l’occasion d’exprimer la finesse de son univers harmonique (The Singing Song, Edelweiss).

    Soudain, une version échevelée du standard d’Antonio Carlos Jobim & Vinicius de Moraes O Grande Amor surgit pour annoncer la couleur résolument bossa nova que prendra la seconde partie du concert. Astrud Gilberto entre maintenant sur scène. Aux premières mesures de Samba De Uma Nota Só, les délicats parfums du Brésil se révèlent. La voix délicieusement mutine et fragile d’Astrud, sertie dans les sonorités irisées du vibraphone et enveloppée par les contrechants aériens du saxophone, retrouve la fraicheur et l’innocence de l’enregistrement légendaire de 1964. Comme si c’était leur première rencontre, Astrud et Stan jouent au jeu subtil de la séduction qui donne vie à une musique sensuelle, légère et mélancolique. Qui peut alors résister à la suite colorée de standards de la bossa nova (Você E Eu de Gilberto Gil, Corcovado et The Girl from Ipanema de Jobim) mêlés à quelques compositions plus “jazz” dans leur forme comme dans leur esprit (Jive Hoot de de Bob Brookmeyer, The Shadow of your Smile et It Might as Well Be Spring)?

    Aux dernières notes de Jive Hoot, le souriant Stan Getz s’arrête et lance aux spectateurs un simple “Auf Wiedersehen”. La parenthèse de ce rêve restera fermée pendant près de 60 ans avant que nous retrouvions les bandes originales dans les archives de la radio Berlinoise. Il s’agit de la première édition de ce concert live, entièrement restauré à l’aide de Phoenix Mastering.

    Record 1

  • On Green Dolphin Street
  • The Singing song
  • The Shadow of Your Smile
  • O Grande Amor
  • Blues Walk
  • Once upon a Summertime
  • Medley: Desafinado/Chega De Saudade

  • Record 2

  • Edelweiss
  • Samba De Uma Nota Só*
  • The Shadow of Your Smile*
  • Você E Eu (Eu E Voce)*
  • Corcovado*
  • The Telephone Song*
  • It Might as Well Be Spring*
  • The Girl from Ipanema*
  • Jive Hoot

    • Stan Getz, tenor saxophone
    • Gary Burton, vibraphone
    • Chuck Israels, bass
    • Roy Haynes, drums
    • Astrud Gilberto, vocals*

    Enregistré le 4.XI.1966, Berlin Philharmonie, Berliner Jazztage
    STEREO ℗ 1966 RBB
    Remastérisé par ℗ & © 2021 THE LOST RECORDINGS à partir des bandes analogiques originales


    33 rpm Lacquer-cuts: Kevin Gray
    180g 2-vinyl album
    Galvanisation: Royaume-Uni
    1ère édition, numérotée à la main: 3000 copies
    Nouveau Tip-on gatefold imprimé en Italie
    Pressé par Simon Garcia, Marciac, France



    *Une carte de téléchargement de l'album en 16-bit est incluse avec le vinyle.