Pour Dizzy tout commence et finit par le rire. Entre-temps, tous les chemins sont possibles. Celui de la mélancolie, de la danse ou de l’engagement politique... Dizzy est partout à la fois, toujours insaisissable, il est cet explorateur qui, après avoir été l'un des fondateurs du Bebop dans les années 40, ne cessera jamais d’expérimenter, de surprendre et de repousser les frontières. Fier de son héritage afro-américain, il a su comme personne le confronter à d’autres horizons culturels comme celui de l’Amérique latine ou de Cuba. Le 25 août 1973 Dizzy Gillespie vient au devant du public néerlandais à Laren. Fidèle à lui-même, il présente ses musiciens dans une humeur espiègle et généreuse puis se lance tonitruant dans un tempo Caribéen qui durera 19 minutes ! Puis, d’une voix profonde, Dizzy évoque son ami Martin Luther King. Il lui dédie “Brother K”, ballade tendre ponctuée d’éclairs d’orage et de colère. En guise de conclusion Dizzy invoque ses racines: “The Blues”, où il délaisse sa trompette pour lâcher toute la force et la chaleur de sa voix. Les musiciens se retirent sur un thème étonnement léger. On part comme on arrive, sur la pointe des pieds. On laisse toutefois planer une certitude : “Yes Dizzy, you made it”.
Record 1
Record 2
Enregistré au Singer Concert Hall
Laren Jazz Festival, 25.VIII.1973
STEREO ℗ 1973 VARA
Remastérisé par ℗ & © 2017 FONDAMENTA
Fabriqué et imprimé en Allemagne
Remasterisé à partir des bandes analogiques originales
Lacquer-cuts: André Perriat
180g 2-vinyl album
Nombre limité de copies : 999
Pour Dizzy tout commence et finit par le rire. Entre-temps, tous les chemins sont possibles. Celui de la mélancolie, de la danse ou de l’engagement politique... Dizzy est partout à la fois, toujours insaisissable, il est cet explorateur qui, après avoir été l'un des fondateurs du Bebop dans les années 40, ne cessera jamais d’expérimenter, de surprendre et de repousser les frontières. Fier de son héritage afro-américain, il a su comme personne le confronter à d’autres horizons culturels comme celui de l’Amérique latine ou de Cuba. Le 25 août 1973 Dizzy Gillespie vient au devant du public néerlandais à Laren. Fidèle à lui-même, il présente ses musiciens dans une humeur espiègle et généreuse puis se lance tonitruant dans un tempo Caribéen qui durera 19 minutes ! Puis, d’une voix profonde, Dizzy évoque son ami Martin Luther King. Il lui dédie “Brother K”, ballade tendre ponctuée d’éclairs d’orage et de colère. En guise de conclusion Dizzy invoque ses racines: “The Blues”, où il délaisse sa trompette pour lâcher toute la force et la chaleur de sa voix. Les musiciens se retirent sur un thème étonnement léger. On part comme on arrive, sur la pointe des pieds. On laisse toutefois planer une certitude : “Yes Dizzy, you made it”.
Record 1
Record 2
Enregistré au Singer Concert Hall
Laren Jazz Festival, 25.VIII.1973
STEREO ℗ 1973 VARA
Remastérisé par ℗ & © 2017 FONDAMENTA
Fabriqué et imprimé en Allemagne
Remasterisé à partir des bandes analogiques originales
Lacquer-cuts: André Perriat
180g 2-vinyl album
Nombre limité de copies : 999